zaterdag 18 september 2021

 Traitement précoce de la Covid-19 : la colchicine offre un espoir à confirmer

 | 26 janv. 2021 par Caducee.net |  |  Partager

L’Institut de Cardiologie de Montréal (ICM) a annoncé par voie de communiqué de presse le 23 janvier avoir identifié la colchicine comme « le seul médicament oral efficace pour traiter les patients non -hospitalisés » de la Covid-19. Cette annonce, largement médiatisée, offre un espoir réel de mettre dans le maigre arsenal thérapeutique des médecins contre la COVID-19 un traitement précoce, bon marché et plutôt bien toléré en dépit de sa marge thérapeutique étroite. Mais la communication de l’ICM reste à ce stade reste trop vague et les résultats obtenus sont d’autant plus à nuancer que l’étude n’a pas pu aller à son terme et que de l’aveu même de ses promoteurs, le niveau de signification statistique n’a pas été atteint.

La colchicine, un anti-inflammatoire puissant

Extrait des fleurs de colchique, la colchicine est un alcaloïde puissant qui se présente sous la forme de comprimé à avaler. Ce médicament est indiqué dans le traitement et la prévention des crises de goutte, la maladie périodique, la maladie de Behçet et le traitement de la péricardite aiguë idiopathique. Si ce médicament est délivré uniquement sur ordonnance, c’est avant tout pour éviter les risques de surdosage, car la marge entre la dose thérapeutique et la dose toxique est très étroite. Dans le traitement de la goutte, la posologie est habituellement de 1 à 3 comprimés de 1 mg par jour. La dose toxique est voisine de 10 mg par jour et au-delà de 40 mg jour, la dose serait constamment mortelle selon les RCP.

Si la colchicine ne doit jamais être administrée sans avis et prescription médicale, elle présente néanmoins un bon profil de sécurité et est largement utilisée dans le traitement de la goutte. Elle par ailleurs relativement bon marché avec une boite de 20 comprimés qui en France coute moins de 5 €.

En avril 2020, Le Dr Jean-Claude Tardif, directeur du centre de recherche de l’Institut de Cardiologie de Montréal, cherche à évaluer l’efficacité de la colchicine comme modulateur de la réponse inflammatoire et immunitaire des patients COVID-19 qui se traduit souvent par une libération massive de cytokines particulièrement dévastatrice pour l’organisme.

Le Dr Tardif, met alors en œuvre l’étude COLCORONA et cherche à recruter 6000 sujets présentant au moins un facteur de comorbidité (hypertension, diabète, BPCO/asthme, insuffisance cardiaque, maladie coronarienne…)

Une étude « sans contact »

COLCORONA est une étude clinique « sans contact », randomisée, à double insu et contrôlée par placébo. Elle a été déployée en ambulatoire au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Amérique du Sud ainsi qu’en Afrique du Sud. Elle vise à déterminer si la colchicine pouvait réduire les risques de complications sévères liées à la COVID-19 et notamment la « tempête inflammatoire » provoquée par « l’orage de cytokines ».

COLCORONA a été menée auprès d’environ 4 500 patients atteints de la COVID-19 n’étant pas hospitalisés au moment de l’inclusion, avec au moins un facteur de risque de complications de la COVID-19.

Les patients dont le diagnostic était confirmé par un test PCR recevaient soit de la colchicine à hauteur de 0,5 mg deux fois par jour pendant 3 jours et une fois par jour les 27 jours suivants soit un placebo. Des consultations de suivi étaient ensuite menées à distance par téléphone ou en vidéo à j 15 et j 30 après le début du traitement.

 Pour l’ICM, il s’agit de la plus grande étude à l’échelle mondiale testant un médicament administré oralement chez les patients non hospitalisés avec la COVID-19.

Des résultats prometteurs pour la colchicine dans la Covid-19

Selon le Dr Tardif, les résultats ont démontré que la colchicine réduisait de 21 % le risque de décès ou d’hospitalisations chez les patients atteints de la COVID-19 comparativement au groupe placébo. « Ce résultat obtenu pour l’ensemble des 4 488 patients de l’étude approchait la signification statistique. L’analyse des 4 159 patients dont le diagnostic de COVID-19 était prouvé par un test nasopharyngé (PCR) a montré que la colchicine réduisait de façon statistiquement significative le risque de décès ou d’hospitalisations comparativement au placébo. Chez ces patients avec diagnostic prouvé de COVID-19, la colchicine a entraîné des réductions des hospitalisations de 25 %, du besoin de ventilation mécanique de 50 %, et des décès de 44 %. Cette découverte scientifique majeure fait de la colchicine le premier médicament oral au monde qui pourrait traiter les patients en phase préhospitalière. »

« Notre étude a montré l’efficacité du traitement utilisant la colchicine pour prévenir le phénomène de “tempête inflammatoire majeure” et réduire les complications liées à la COVID-19 »

Des données dont la fiabilité reste à confirmer

Si l’espoir de soulager les systèmes de santé avec la colchicine comme traitement précoce bon marché est réel, il demeure d’autant plus mince que l’étude est visiblement incomplète et qu’elle n’a pas encore été publiée dans une revue scientifique.

Le Pr Mathieu Molimard, chef du service de pharmacologie médicale au CHU de Bordeaux explique pour LCI « Il ne s’agit pas d’une étude complète. À la base, elle devait porter sur 6 000 patients. Or, ce n’est pas le cas. C’est un peu comme donner les résultats d’un tiercé à la mi-course ». Il met également en doute la fiabilité des données de l’étude qui se contentent d’approcher le seuil de la signification statistique sans pour autant l’atteindre. « Pour qu’une étude soit considérée comme fiable, le seuil est fixé à 5 %. Au-delà de ce pourcentage, on estime que la fiabilité des résultats n’est pas suffisante pour en tirer des conclusions ».

D’autres médecins, comme Steven E. Nissen regrette sur Medscape la communication trop vague de l’ICM qui ne mentionne dans son communiqué de presse ni les rapports de risque, ni les intervalles de confiance, ni les valeurs P.

La société Française de Pharmacologie dénombre 27 études dans le monde testant l’efficacité de la colchicine chez des patients infectés par le Sars-CoV-2, notamment dans l’étude britannique RECOVERY. Dans un avis mis à jour le 16 janvier 2021, elle publie « En l’état actuel des connaissances, l’efficacité de la colchicine dans la prévention ou le traitement des infections à COVID-19 n’a pas été démontrée. Son utilisation ne peut donc pas être recommandée au vu des données actuelles pour le traitement de la COVID-19. Des études de plus grande ampleur et de meilleure qualité méthodologique sont nécessaires pour démontrer l’efficacité éventuelle de la colchicine dans la prise en charge de la COVID-19. » 

 

Pour répondre à ses détracteurs, l’ICM explique que la publication scientifique est en cours de rédaction et sera soumise dans les prochaines semaines dans une revue à comité de lecture.

Feu vert en Grèce pour la colchicine dans le traitement ambulatoire de la Covid-19

Si pour certains médecins déjà échaudés par le débat sans fin sur l’hydroxychloroquine, la communication de l’ICM suscite une certaine défiance, ce n’est visiblement pas le cas de l’Agence grecque des médicaments qui a donné lundi 25 janvier son feu vert pour la prescription de la colchicine dans le cadre de la Covid-19.

Si pour le moment, cette autorisation se limite au traitement à domicile des patients de plus de 60 ans, elle pourrait néanmoins être étendue rapidement aux patients covid présentant des facteurs de comorbidités cardiaques ou respiratoires.

Descripteur MESH : Colchicine , Thérapeutique , Patients , Médecins , Communication , Cardiologie , Risque , Maladie , Goutte , Diagnostic , Pharmacologie , Afrique , France , Sécurité , Canada , Fleurs , Ventilation , Comorbidité , Santé , Europe , Amérique du Sud , Grèce , Téléphone , Lecture , Recherche , Mécanique , Confiance , Intervalles de confiance , Placebo , Cytokines , Diabète , Hypertension artérielle , Péricardite , Maladie de Behçet

https://www.caducee.net/actualite-medicale/15296/traitement-precoce-de-la-covid-19-la-colchicine-offre-un-espoir-a-confirmer.html

 

Covid-19 : la colchicine réduit le risque d'hospitalisation et de décès, selon l'étude Colcorona

Volume 90%

 

Le responsable de l'étude Colcorona, le docteur Jean-Claude Tardif répond à nos questions sur le traitement par la colchicine de patients touchés par le Covid-19.

28 JAN 2021

 

Mise à jour 28.01.2021 à 14:08

 par 

Pascal Hérard

L’Institut de Cardiologie de Montréal (ICM) a annoncé, le 22 janvier 2021, que son étude nommée "Colcorona" démontre que la colchicine est efficace pour traiter les patients non-hospitalisés atteints du Covid-19. Mais ce médicament à marge thérapeutique étroite est aussi un poison si la dose n'est pas bien respectée. Explications et entretien avec le docteur Jean-Claude Tardif, directeur du Centre de recherche de l’ICM.

C'est peut-être une éclaircie dans le ciel très sombre de la pandémie de coronavirus : un médicament permet de "réduire de façon statistiquement significative le risque de décès ou d’hospitalisations des personnes touchées par le Covid-19", selon l'Institut de cardiologie de Montréal (ICM). Ce traitement à base de colchicine, administré oralement à des personnes positives au coronavirus pourrait devenir "le premier médicament oral au monde de traitement des patients en phase pré-hospitalière", toujours selon l'ICM . La  colchicine est un puissant anti-inflammatoire, utilisé depuis très lontemps pour le traitement de la goutte. Mais la colchocine est aussi un poison : la dose thérapeutique est proche de la dose toxique, ce qui signifie que sa concentration dans l'organisme peut être très vite dangereuse avec des effets indésirables graves pour le patient.

Extrait de l'article "Ce qu’il faut savoir sur la colchicine", sur le site du Réseau français des centre régionaux de pharmacovigilance — RFCRPV

La colchicine est un alcaloïde extrait d’une plante, le colchique et appartient à la famille des « poisons du fuseau ».

Elle agit en diminuant l’inflammation et en freinant la production d’acide lactique en maintenant le pH local normal. En effet, l’acidité favorise la précipitation des cristaux d’urate, point de départ de la crise de goutte. La colchicine agit également en bloquant la division cellulaire ce qui explique notamment sa toxicité digestive et hématologique, les cellules gastriques et de la moelle osseuse étant à forte division cellulaire.

La colchicine est un médicament à marge thérapeutique étroite, ce qui signifie que toute variation de sa concentration dans votre organisme, même légère, peut éventuellement entraîner des effets indésirables, potentiellement graves. En d’autres termes, la dose thérapeutique est proche de la dose toxique.

En France, la colchicine est disponible :

·         seule dans la spécialité Colchicine Opocalcium® (comprimés à 1 mg)

·         en associa

https://information.tv5monde.com/info/covid-19-la-colchicine-reduit-le-risque-d-hospitalisation-et-de-deces-selon-l-etude-colcorona

 

 

DISCUSSIE. “Ik heb mijn deel gedaan. Punt”

 

©  BELGAIMAGE

DISCUSSIE. “Ik heb mijn deel gedaan. Punt”: onze lezers over besmette gevaccineerden die coronapas 11 dagen kwijt zijn

Wie volledig gevaccineerd is maar toch besmet raakt met het coronavirus, krijgt binnenkort elf dagen geen geldig Covid Safe Ticket meer. Virologen vrezen dat mensen zich daarom minder snel zullen laten testen. Uit vrees dat ene feestje of die ene voetbalmatch te moeten missen. “Maar als je een verantwoorde burger bent, wil je niet positief rondlopen.” Wij vroegen aan onze lezers wat zij hiervan vinden. Lees een greep van de reacties onderaan dit artikel, zelf reageren kan natuurlijk ook nog altijd.

thv, cka 

17/09/2021 om 10:50  in GvA.be

Tot nu kregen gevaccineerde mensen áltijd een groen scherm. Ook als ze na volledige vaccinatie toch een positieve coronatest aflegden. Maar Digitaal Vlaanderen gaat die fout in het Covid Safe Ticket rechtzetten, ten laatste tegen maandag. Vanaf dan krijgen gevaccineerden na een positieve test elf dagen lang een rood scherm te zien bij een scan van hun coronapas.

DISCUSSIE. Coronapas 11 dagen kwijt

·         Ik ga zeer zeker geen enkele test laten doen: indien ik zoals voorgespiegeld werd, deugdelijk gevaccineerd werd, zie ik het probleem niet. Ik was enorm gemotiveerd voor de dubbele prik, maar een 3de komt er beslist niet in. Telkens werd en wordt de bevolking een wortel voor de neus gehangen, bij mij mag men nu nog een hele bussel wortelen voorhangen, ik werk niet meer mee, ik heb mijn deel gedaan. Punt

 

·         Voor mij hoeft héél die heisa niet meer! Ik heb 2 vaccinaties gehad en nu mag de komedie stoppen. Ze weten het zelf ni meer! Op de duur ga je de weigeraars nog gelijk geven!

 

·         Tuurlijk ga ik niet meer testen. Ik heb mezelf laten vaccineren omdat het een beloofde ticket naar de vrijheid was. Dat laat ik me niet meer afnemen!

 

·         Kunnen jullie mij dan eens uitleggen waarvoor zulk een pas dient ? Je moet je nog overal laten testen en je moet nog steeds een masker dragen. Zit er dan toch meer achter ?

 

·         Ik ga mezelf niet meer laten testen nu ik volledig gevaccineerd ben. Er is altijd gezegd dat de vaccins enkel beschermen tegen het ernstig ziek worden. Je kon nog steeds besmet geraken en anderen besmetten. Nu iedereen de kans heeft gehad zich te laten vaccineren, heeft ook iedereen zijn keuze gemaakt. Laat de maatschappij terug los zoals voorheen. Men komt telkens met nieuwe verzinsels af. Onbekwame regering tot en met ...

 

·         Ik heb reeds 210 Euro uitgegeven aan antigeentesten om te bewijzen dat ik gezond ben. Op deze manier kon ik als niet-gevaccineerde voetbalwedstrijden en twee kleine festivals bijwonen. Maar voor mij stop het hier nu. Gevaccineerden verspreiden niet alleen het virus, ze moeten bovendien voor de test ook niets betalen. Dit is onverantwoord gedrag van de beleidsvoerders. Wie niet wil deelnemen aan het wereldwijde experiment, wordt op vele plaatsen gediscrimineerd. En ben Vlaming en daar was ik fier op. Maar dat is intussen verleden tijd.

 

·         Ik blijf mij steeds afvragen wat het nut is van vaccineren?

Je bent gevaccineerd en toch kan je nog besmet worden en iemand besmetten?

Je bent gevaccineerd en toch moet je je laten testen?

Je bent gevaccineerd en toch word je 11dagen afgestraft?

En kom niet af met gevaccineerde worden minder ziek, niet waar! Mensen gaan zich helemaal niet meer testen dankzij jullie aanpak? Kan iemand nog op den duur volgen? Daarbij vanaf 1/10 komen de Brusselaars wel naar Antwerpen gezellig op café en restaurants, daar al aan gedacht? Absurd voor woorden.

Groet, een ontgoochelde gevaccineerde.

 

 

Doutzen Kroes: “Ik laat mij niet dwingen om het vaccin te nemen”

 

Doutzen Kroes. © Instagram

Voor Doutzen Kroes is grens bereikt: “Ik laat mij niet dwingen om het vaccin te nemen”

SHOWBIZZDoutzen Kroes (36) is niet van plan zich te laten vaccineren of deel te nemen aan de 'testmaatschappij’. Dat schrijft het Nederlandse topmodel vandaag in een uitgebreid bericht, nadat ze zich zes maanden lang stil heeft gehouden op sociale media. “Mijn handen trillen terwijl ik dit schrijf, maar ik voel dat het tijd is om moed boven comfort te kiezen en mijn waarheid uit te spreken.”

Maxime Segers 18-09-21, 07:44 Bron: AD

 

Het is niet de eerste keer dat Kroes zich uitspreekt tegen het coronavirus en de bijbehorende maatregelen. Vorig jaar stelde ze bijvoorbeeld na ‘urenlang research’ te hebben gedaan twijfels te hebben gekregen over de oprechtheid van de media, de farmaceutische industrie, regeringen en grote bedrijven. Kort daarna riep ze haar volgers op om vooral respect voor elkaar te hebben.

Ook na die uitspraken bleef Kroes zich verzetten tegen de maatregelen. Zo schreef ze in maart dit jaar nog dat ze tegen coronatesten bij kinderen was. Kroes besloot zich daarna stil te houden, maar vandaag - na zes maanden - is ze terug op Instagram met een duidelijke boodschap.

Op dit moment kan ik mijn ogen niet langer sluiten voor het onrecht dat zich recht voor onze neus afspeelt

Doutzen Kroes

“De afgelopen maanden waren erg rustig zonder sociale media. Een deel van mij wilde ontsnappen in mijn familiebubbel en alles aan het geloof overlaten. Dat deel van mij gelooft in de kracht van bewustzijn, dat alles waar je energie aan geeft zal groeien. Dus ik probeerde het negatieve te negeren en me op het positieve te concentreren. Maar op dit moment kan ik mijn ogen niet langer sluiten voor het onrecht dat zich recht voor onze neus afspeelt”, begint Kroes haar bericht. Ze vervolgt: “Andere mensen hebben me hoop en kracht gegeven met hun moed om op te komen voor onze rechten. Ze raakten mijn hart en inspireerden me om hetzelfde te doen.”

En dus laat Doutzen ‘met trillende handen’ weten dat ze zich absoluut niet laat vaccineren. Ook wil het topmodel niet bewijzen dat ze gezond is zodat ze ‘kan deelnemen in de samenleving.’ “Ik accepteer geen uitsluiting van mensen op basis van hun medische status”, luidt haar standpunt. Volgens Doutzen is vrijheid van meningsuiting bovendien een recht “dat het waard is om voor te vechten, maar we kunnen dit alleen oplossen in vrede en liefde.” Kroes hoopt met haar bericht ‘de fakkel van liefde en hoop’ door te geven.

Uit: https://www.hln.be/showbizz/voor-doutzen-kroes-is-grens-bereikt-ik-laat-mij-niet-dwingen-om-het-vaccin-te-nemen~a34a2766/

Link naar instagram post

ENKELE REACTIES:

·         Alexandre Goyens

Mensen die zeggen "blijf uit mijn buurt" ik vraag me af waarom u zo bang bent als u toch al gevaccineerd bent? Gevaccineerden onder elkaar kunnen nog altijd het virus doorgeven. Heel mijn schoonfamilie is gevaccineerd (2 prikken) en liggen allemaal deze week met Corona in bed vol koorts en zware syntomen. Ik ben de enige die de prik nog niet heeft gehad en ik heb niets... Toch vreemd he

·         Inge Smets

Aan alle gevaccineerden jullie zijn toch beschermd wat is dan feitelijk jullie probleem

·         sylvia somers

Groot gelijk weg met dit expermenteel gedoe

·         stephan Maris

Blij dat ik niet alleen ben, want zo lijkt het soms wel.

donderdag 16 september 2021

 


By Brannon Howse, 13 September, 2021

Dr. Judy Mikovits Predicted The Vaccine Deaths Now Occurring In 2021 Years Ago


LINK: https://www.worldviewweekend.com/tv/video/dr-judy-mikovits-predicted-vaccine-deaths-now-occurring-2021-years-ago

 Former Pfizer VP: COVID vaccines pose ‘severe risk’ of infertility for women


Dr. Michael Yeadon called vaccination of young women with COVID-19 mRNA vaccines ‘stupid and reckless,’ citing papers showing that toxic nanoparticles accumulate in ovaries.



Celeste
McGovern

Thu Aug 19, 2021 - 7:18 pm EDT

LifeSiteNews has produced an extensive COVID-19 vaccines resources page. View it here. 

(LifeSiteNews) – Scientists have known for nearly a decade that the lipid nanoparticles like those currently used in novel mRNA COVID vaccines accumulate in ovaries and are potentially toxic to reproductive health, a former vice president and top researcher at Pfizer said at a conference hosted by LifeSiteNews Thursday on the fertility dangers of COVID vaccines.   

“You’re not being told the truth,” said Michael Yeadon, former Pfizer Vice President and Chief Scientist Worldwide for Respiratory Pharmacology and Toxicology, who is now the Chief Scientific Advisor for the Truth for Health Foundation. “Thinking about this, I try to imagine that I was speaking to my own young adult daughters, for whom I would be very concerned if they got these vaccines.” 

Yeadon cited scientific papers dating back to 2012 that warn of potential reproductive hazards of lipid nanoparticles that are used in COVID shots.   

Both Moderna’s and Pfizer’s mRNA vaccines use specialized nanoparticle lipids or lipoproteins as carriers for their main ingredient – unstable mRNA protein that causes cells to produce the notorious coronavirus spike protein and elicit an immune response. These are the molecules that required the extremely low temperatures to preserve stability of the lipid encasing the fragile mRNA.

Accumulation in reproductive organs

German researchers reported in their paper published nine years ago, “Accumulation of nanocarriers in the ovary: A neglected toxicity risk?,” that there is a “potential toxicity risk of all nanoscaled drug delivery systems” and an accumulation of different microscopic carrier molecules in rodent ovaries. Their research involved injection of lipid “nanocarriers,” including some with an ingredient common to both Pfizer’s and Moderna’s mRNA COVID vaccines: polyethylene glycol. 

Instead of loading the carriers with drugs or mRNA, the researchers from Martin Luther University Halle-Wittenberg Department of Pharmaceutical Technology and Biopharmaceutics and the University of Regensburg loaded the nanocarriers with a fluorescent dye they could trace. They reported a “high local accumulation of nanoparticles” in “specific locations of the ovaries” in all mice and rats treated with five different nanocarrier drug delivery systems of different sizes.

Remained in ovaries 25 days later

The fluorescence intensity was detectable in ovaries just two hours after injection and increased within ovaries after 24 hours and remained constant at a high level over several days. A bright fluorescence signal was detectable even 25 days after injection, they reported.

The German researchers warned that this accumulation in ovaries may alert to an “important toxicity issue in humans,” but they did not know. Perhaps, it “might as well open a new field of targeted ovarian therapies,” they reported and concluded that further study was necessary to discover the unknown impact of the phenomenon.

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Pfizer’s unpublished data

These findings confirm a Pfizer “biodistribution study” of its lipid nanoparticle carrier system in lab animals which showed that the vaccine nanocarrier molecules leave the muscle site of injection, enter blood circulation, and then accumulate in organs and tissues, including the spleen, bone marrow, the liver, adrenal glands, and especially the ovaries.

The biodistribution study looked only at the nanoparticle carrier proteins and did not include the vaccine ingredient mRNA, which presumably would be delivered inside the carrier in the real world experiment and trigger production of spike protein in the cell it lands in, as intended. 

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Onderkant formulier

Thalidomide disaster

“We never, ever give experimental treatments to pregnant women,” said Yeadon, pointing to the Thalidomide disaster, in which doctors gave women a drug in the 1950s and 1960s to treat nausea in pregnancy, resulting in thousands of children being born with severe deformities, including malformed organs, leading to death, shortened limbs, and missing fingers and toes.

“Thalidomide taught everyone a lesson. Now we know harms can happen, and so we’ve spent the last 60 years being really careful,” said Yeadon.

The Centers for Disease Control and Prevention (CDC) recommends all current experimental COVID vaccines, which have been granted Emergency Use Authorization only and are still in human clinical trials for another year at least, for pregnant and breastfeeding mothers.

Yeadon called government promotion of the vaccines to pregnant women and young women of reproductive age “stupid and reckless.” 

“When they say they’re safe, you must know they don’t know that. They’ve not been around long enough for them to possibly evaluate.” 

Yeadon, who has served as consultant to over 30 biotech companies and founded his own biotech company that later was sold to pharmaceutical giant Novartis, cited other research showing that the spike protein from the coronavirus, which all the current vaccines are based on, has similarities to human proteins that could induce autoimmune reactions, including reactions affecting fertility.  

Data showing that 15 pregnant women who were vaccinated developed three-fold higher levels of antibodies against their own placentas was dismissed and hidden by the vaccine industry and public health, he said.     

‘Do not take these vaccines

The risks of ingredients in the COVID vaccines to fertility are too well documented to have been simply ignored, Yeadon suggested. “Do not take these vaccines,” he warned. “There’s a severe risk to your ability to conceive and carry a baby to term. Worse, these are deliberate acts which I believe whoever is doing it is lying about it to hide it and they’re smearing people who are trying to warn you. Who do you trust?”

Menstrual irregularities 

The research cited by Yeadon could explain the tens of thousands of reports of menstrual irregularities, hundreds of reported miscarriages, and other reproductive issues following vaccines which have been reported to adverse event reporting systems worldwide.

This week, the U.K. Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) ruled that there was ‘no evidence’ that the 30,304 reactions reported to the Yellow Card system relating to a variety of menstrual disorders from women who had received one of the three COVID vaccines currently approved for use in the U.K. were in any way related to the injections.

Toxic effects

Dr. Elizabeth Lee Vliet, an independent physician specializing in reproductive hormones impact on general health and co-founder of the Truth for Health Foundation, pointed to another study, this one from 2018, in which researchers again warned of the reproductive toxicity of nanoparticles.

“Indeed, studies have shown that NPs [nanoparticles] are likely to have toxic effects on many organs, such as the brain, liver, and lungs, which are the most studied target organs,” the Chinese researchers reported in their paper, titled “Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive system.” “Only recently, attention has been directed toward the reproductive toxicity of nanomaterials.”

The study reviews literature showing that nanoparticles can pass through the blood–testis barrier, placental barrier, and barriers protecting reproductive tissues, and then accumulate in reproductive organs.  

The accumulation of nanoparticles damages organs (testis, epididymis, ovary, and uterus) by destroying specific cells, leading to reproductive organ dysfunction that adversely affects sperm and eggs and may disrupt the ovarian cycle. “In addition, NPs can disrupt the levels of secreted hormones, causing changes in sexual behavior,” according to the researchers. 

“It’s not just sexual behavior,” said Vliet, who has practiced climacteric medicine focusing on reproductive health and the impact of hormones on general health for 35 years. “It’s the health and optimal function of every organ in our body.”

The review paper cited earlier German research on nanocarriers but also looks at dozens of studies of other nanoparticlized or microscopic molecules including graphene oxide, titanium dioxide and catalogues their negative impact on various aspects of reproduction. 

Impacts reproductive systems of newborns

In one 2015 study referenced, researchers injected a PEG polymer into rat puppies and concluded that “neonatal exposure to PEG-b-PLA might affect the development and function of hypothalamic-pituitary-ovarian axis (HPO), and thereby alter functions of the reproductive system in adult female rats.” In other words, newborns exposed to these nanoparticles did not develop normal reproductive systems.

LNP-driven safety parameters

Other studies by the vaccine industry have raised safety concerns over lipid nanoparticles (LPN). One 2018 study by researchers from COVID vaccine-makers Moderna and AstraZeneca UK and three other pharmaceutical companies looked at the safety of modified mRNA formulated in lipid nanoparticles (LNPs) after repeated intravenous infusion to rats and monkeys.

It described “primary safety-related findings” that were “mainly LNP driven.” These included increased hematopoiesis (production of blood components) in the liver, spleen, and bone marrow (rats) and “minimal hemorrhage in the heart (monkeys).” Other safety-related findings in the rat included “changes in the coagulation parameters at all doses, as well as liver injury,” and in the monkey, “splenic necrosis” and “lymphocyte depletion were observed.”  

There is no evidence that the vaccine manufacturers looked at the effects of the LPN (or mRNA) on reproductive organs or function. The researchers concluded: “Future work will be geared toward evaluating different routes of administration, the effects of chronic dosing, and the risk to juvenile animals, as juveniles may be particularly important in the setting of rare disease.” 

Two years was not a long time to answer all of the questions raised in the study about the long-term potential effects of modified mRNA or LPN in juvenile animals – let alone humans. Yet the CDC currently promotes Pfizer’s experimental vaccine for all children over age 12 and for pregnant and breastfeeding mothers.  

The Moderna Spikevax COVID-19 vaccine was approved for 12 to 17-year-olds this week by the Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) of the United Kingdom. 

Moderna and Pfizer did not reply to questions and requests for comment from LifeSiteNews before publication.

 

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